Parkinson's Fighter : Jasmin

“Je savais que des patients étaient examinés dans le cadre de l’Étude luxembourgeoise sur la maladie de Parkinson et puis j’ai appris qu’il y avait aussi besoin de participants en bonne santé pour pouvoir comparer les données. Ça m’a semblé très logique : si on veut savoir ce qui ne va pas, bien sûr qu’il faut aussi connaître en détail comment ça marche quand tout va bien. Être en bonne santé reste relatif, comme tout le monde j’ai mes petits soucis. Mais je n’ai pas la maladie de Parkinson, et c’est ce qui est important pour participer à l’étude en tant que volontaire contrôle. J’ai donc fait les mêmes tests que les patients : on a vérifié mes mouvements, ma mémoire, ma dextérité ainsi que mon odorat ont été testé, et j’ai donné des échantillons de sang, de salive et d’urine. Dans l’ensemble, trois heures très instructives qui, je l’espère, m’ont permis de contribuer un peu à la recherche. Il y a besoin de 799 autres volontaires, alors qu’est-ce que vous attendez ? Quand je pense au temps que les patients passent avec la maladie, je me dis que ce sont trois heures de mon temps qui ont été bien investies.”